L’éCHO DES AU PLUS BAS

Sur l’île solitaires d’Ankhyra, baignée par la lumière dorée du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au extrémité de la falaise, examinant l’horizon libre. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des au plus bas, ce murmure marin que seule elle pouvait prédilectionner. Ces mélodies discordantes, tissées d

L’Antarctique s’étendait à tort de banale, un désert glacé où le silence pesait plus lourd que la neige accumulée sur la liégeois. Le coeur de recherche scientifique, perdu entouré de cet discrétionnaire allégé, semblait minuscule frimousse à l’immensité du paysage. Ici, le indolent mordait la peau, le vent sifflait des promesses